L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (AFACOM) et sa présidente Zeina el Tibi vous invitent à assister à la présentation du livre de Marwa el Sahn : « Pour une cinémathèque égyptienne » le 14 octobre.

L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (AFACOM) et sa présidente Zeina el Tibi vous invitent à assister à la présentation du livre de Marwa el Sahn : « Pour une cinémathèque égyptienne » le 14 octobre.
L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (AFACOM) a réuni ses membres et ses amis pour un diner qui a eu lieu le 5 janvier 2019 au restaurant libanais Le Chérine, à Paris. À cette occasion Dr Zeina el Tibi, présidente de l’AFACOM, a fait le bilan de l’année 2018, elle a souligné le grand succès du Forum au Parlement européen à Bruxelles, le 17 octobre 2018, sous le thème le «Dialogue Euro-Méditerranéen au féminin. Nos valeurs communes ». Elle a aussi présenté l’ouvrage « Les femmes des deux rives de la Méditerranée face à l’extrémisme » paru aux éditions Karthala dans la collection «études géopolitiques».
Le thème de la promotion des valeurs communes des deux rives de la Méditerranée a fait l’objet d’un colloque international organisé le mercredi 17 octobre 2018, au Parlement européen à Bruxelles en présence d’une très nombreuse assistance, dont plusieurs députés européens (Gilles Pargneaux, Patricia Lalonde …) et des élus français et marocains (la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam, Hayat Bouffarrachen vice-présidente du parlement marocain…) qui a insisté sur le rôle d’intercesseurs que doivent jouer les membres des communautés marocaines à l’étranger (MRE).
Tenu à l’initiative de l’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (AFACOM) et de l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO), ce colloque a été l’occasion de mettre la lumière sur les efforts déployés par les femmes pour jeter des ponts entre le nord et le sud de la Méditerranée en favorisant notamment le dialogue civilisationnel et religieux. Lire la suite
L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (AFACOM), en coopération avec « Journées Féministes Maghrébines », a organisé une soirée d’hommage à Fatima Mernissi, sociologue et écrivain, le 15 décembre 2018 à Paris. Fatima Mernissi était, au Maghreb puis au-delà, une icône pour toute une génération d’intellectuelles, une voix essentielle des débats sur le féminisme, l’Islam et le monde moderne, l’Islam et les femmes. Cet hommage, animé par Fatima Guemiah (secrétaire générale adjointe de l’AFACOM), a donné lieu à une présentation et une signature du livre collectif «Fatema Mernissi et la pensée féministe au Maghreb» en présence des auteures : Rachida Ennaifer, juriste, Fatiha Talahite économiste et chercheur au CNRS, et Fouzia Benyoub, journaliste et membre de l’AFACOM.
Cette année, après plusieurs sessions au Sénat français, nous avons le plaisir d’organiser notre colloque, le mercredi 17 octobre 2018 au Parlement européen à Bruxelles avec le parrainage du député M. Gilles Pargneaux.
Le thème choisi est « Nos valeurs communes ». Un thème qui revêt une importance particulière à un moment où le repli communautaire se fait sentir de plus en plus.
Les intervenants s’exprimeront en français, une traduction simultanée en anglais sera proposée.
Retrouvez le compte rendu et la video de la présentation de l’ouvrage : L’État des Frères musulmans, l’avenir de l’organisation internationale de M. Abdelrahim Ali, député au parlement égyptien, qui s’est tenue le mercredi 29 novembre 2017 au Sénat. Sous le parrainage des Sénateurs M. François Grosdidier et Mme Joëlle Garriaud-Maylam.
Programme Colloque 26 avril def
En 2017, le colloque AFACOM-ISESCO Le dialogue euro-méditerranéen au féminin se tiendra le mercredi 26 avril (14h-18h).
Retrouvez le programme du colloque en cliquant ici
3 thèmes principaux y seront abordés :
– L’Action des femmes dans la vie publique
– Les femmes victimes et cibles de l’extrémisme
– Les femmes médiatrices de paix et de tolérance
Inscriptions obligatoires : colloque.afacom@gmail.com
Avec le soutien de :
Le 20 septembre au Sénat à Paris, l’AFACOM a organisé un petit déjeuner organisé avec le Docteur Kamal Mohanna, président fondateur de l’Association Amel, qui a traité du sujet « Crise des réfugiés : Pratiques innovantes et perspectives de la société civile au Liban ».
Cette rencontre, qui s’est tenue en présence de l’ambassadeur du Liban à l’Unesco, Dr Khalil Karam , et du chargé d’affaire, ambassadeur par intérim du Liban à Paris, Ghady Khoury, a réuni de nombreux universitaires, journalistes (dont des membres de l’AFACOM), hauts fonctionnaires français et internationaux (Unesco, OIF) et des responsables d’ONG humanitaires.
Dr Zeina el Tibi, présidente de l’AFACOM a rappelé l’engagement du Dr Johanna pour les causes humanitaires et son dévouement à tous les nécessiteux et réfugiés, sans distinction de religion ou de nationalité. « Dans ce Liban qui a connu tant de drames et tant d’affrontements horribles, vous avez choisi l’action humanitaire, plutôt que la kalachnikov. Vous et l’association Amel êtes l’exemple de cette société civile libanaise qui résiste tant bien que mal à la folie destructrice et cherche à sauvegarder un vivre-ensemble fondé sur l’adhésion à de valeurs humanistes. On a pu dire que mieux vaut allumer une bougie que maudire l’obscurité ! Vous allumez d’innombrables bougies qui font que la nuit est moins noire. Et ces bougies portent les indispensables lueurs de l’espoir.»
Pour sa part, Dr Kamel Mohanna a souligné l’ampleur de la catastrophe humanitaire au Liban « Depuis 2011, le Liban a ouvert ses frontières aux réfugiés syriens fuyant leur pays ravagé par la guerre. Selon les chiffres du HCR, il y a actuellement plus d’un million de réfugiés syriens au Liban, les autorités libanaises estiment que leur nombre est beaucoup plus élevé, peut-être 1, 5 million pour un pays de seulement 4 millions d’habitants. Pourrait-on imaginer 20 millions de personnes se réfugiant dans un pays comme la France ? »
Le fondateur d’Amel a rappelé que depuis 2012, son association a lancé un programme d’urgence à la crise des réfugiés syriens au Liban. Elle a pu maintenir une présence permanente dans les régions et aux moments les plus sensibles quand certaines organisations internationales retiraient leur personnel pour des raisons sécuritaires. La présence ancienne et durable d’Amel dans toutes les communautés sans aucune distinction « a favorisé l’acceptation de l’aide destinée aux réfugiés syriens, tout en prenant en compte les besoins des populations locales et en favorisant la cohésion sociale entre les uns et les autres »
Précisant la philosophie de son action, Dr Mohanna a affirmé que « c’est sur la base d’une vision centrée sur la pensée positive et l’optimisme permanent que nous entendons lutter pour un monde plus juste et plus humain. La Norme humanitaire fondamentale de qualité et de redevabilité est l’un des outils qui contribuera à la réalisation d’un autre humanitaire, pour que la dignité devienne un principe et une pratique universels. »
Les participants de la réunion ont contribué à animer un débat d’un grand intérêt, puis ils ont exprimé leur soutien à la candidature d’Amel au Prix Nobel de la Paix qui devrait être décerné en octobre. Comme l’a affirmé Zeina el Tibi « l’attribution de ce prix à une association libanaise serait sans aucun doute un honneur pour le Liban et surtout un encouragement à ses efforts pour surmonter les crises. Ce serait une récompense pour son inépuisable volonté de vivre et de revivre ».
« Crise des réfugiés : Pratiques innovantes et perspectives de la société civile au Liban ».en présence du Dr Kamel Mohanna, Président de Amel Association International.
Le mardi 20 septembre 2016 De 8h15 à 10h.
« Le rôle de la femme comme médiatrice interculturelle du dialogue euro-méditerranéen »
L’objectif de ce colloque est de faire progresser l’idée selon laquelle les femmes doivent être des actrices des évolutions dans les sociétés méditerranéennes pour favoriser une nouvelle approche des relations Nord-Sud et qu’elles ont un rôle à jouer pour promouvoir le dialogue des cultures entre les deux rives de la Méditerranée.
Il s’agit de concevoir les femmes comme médiatrices de la paix à travers l’éducation, la politique, l’économie, la culture et le dialogue des religions.